đ€·ââïž Ca câest vraiment un classique. Pourtant, dans la vie de tous les jours, nos bras sont dĂ©jĂ lĂ et on ne se pose pas la question de ce que lâon doit faire avec eux. đ En revanche, dĂšs quâon monte sur scĂšne ou dĂšs quâon prend la parole devant un public, câest un peu comme si nos bras et nos mains poussaient et quâon ne savait plus quoi en faire. đ Alors trĂšs vite on est tentĂ© de les cacher, de les immobiliser, derriĂšre soi, devant soi, en croisant les bras, en faisant disparaĂźtre nos mains sous la table. đ€ Mais comme nos bras et nos mains aiment bouger, hop, ils vont se permettre, sans aucun contrĂŽle de notre part, de venir parasiter notre communication. Se toucher le visage, se gratter le bras, se gratter la tĂȘte, faire tourner son alliance⊠đŹ Tous ces gestes ne servent pas mon message. Ils ne racontent rien dâintĂ©ressant. âš Alors que faire ? Eh bien, il suffit de les occuper ! Les occuper Ă quelque chose qui va me servir Ă faire passer encore mieux votre message. đ Je vais imager mes propos, avec mes mains. En faisant ça, je vais envoyer Ă mon auditoire deux signaux parfaitement alignĂ©s : mon message vocal et mes gestes qui viennent le renforcer.
Ca vous semble difficile Ă faire ?
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